Commencer par consulter le Hardware-HOWTO .
Mon processeur ne fonctionne pas correctement, que faire ?
Lire la section 4 du Hardware-HOWTO.
P. Vannoni, X. Beaudouin, C. Turbout, H. Canon, B. Poulot-Cazajous, A. Levavasseur :
/proc/cpuinfo
;
halt
pour qu'il chauffe moins quand
il ne fait rien ;
f6x86-1.0.tgz
et ajouter /path/set6x86 0xc2 -s
0x88
dans rc.local
, afin d'armer le bit 3 (les autres bits
pouvant être différents d'une configuration à une autre). Voir aussi
set6x86
.
Comment restaurer ou supprimer le secteur de démarrage de LILO ?
Pour restaurer le secteur de démarrage installé par LILO (d'après S. Stephant) :
/mnt
la partition principale Linux du disque dur ;lilo -r /mnt
. Il sera peut-être nécessaire
d'utiliser /sbin/lilo -r /mnt
, voire /mnt/sbin/lilo -r
/mnt
.Pour remplacer le secteur de démarrage installé par LILO :
lilo -u
dd if=NOM_FICHIER of=/dev/hda bs=446 count=1
, où
NOM_FICHIER
remplace le nom du fichier abritant la sauvegarde du
secteur de démarrage originel (dûment préservé sur une disquette !),
souvent nommé /boot/boot.NUMERO_MAJEUR
NUMERO_MAJEUR
correspond au majeur périphérique, par exemple :
/dev/hda
/dev/hda6
/dev/sda
FDISK.EXE
;FDISK /MBR
.En cas de problème (impossibilité d'écrire le secteur de démarrage) examiner le SETUP du BIOS afin d'autoriser son écriture.
Le mode de partitionnement ou de démarrage de Linux ne varie pas selon le type (FAT16, FAT32, NTFS ...) des éventuelles partitions (MS-Windows ou non) du disque.
(LILO) Comment changer le système d'exploitation lancé par défaut au démarrage ?
Placer dans le fichier /etc/lilo.conf
une déclaration
default=nomImage
(nomImage
remplace ici le nom de l'une
des configurations image=
de ce fichier).
Le démarrage sur disquette échoue avec un message " crc error
", ou
un code d'erreur bizarre.
Utiliser une autre disquette, la formater au préalable et s'assurer qu'elle
n'a pas de défaut (" bad sectors
",
" secteurs défectueux
").
Codes d'erreur : les chercher dans la documentation de LILO.
Que signifie cette histoire de " limitation à 1024 cylindres ", de nécessité d'installer un noyau sur l'un des 1023 premiers cylindres ?
F. Petillon et T. Bousch :
Cette limitation est due au BIOS : celui-ci ne veut pas aller plus loin que le 1024ème cylindre. Dans le cas où le BIOS ne gère pas le disque en mode LBA, il faut s'arranger pour placer les fichiers de boot sur une partition quelconque (linux ou non) pourvu qu'elle soit située dans les 1024 premiers cylindres. Si le BIOS gère le disque en mode LBA, il n'y a jamais plus de 1024 cylindres et donc plus de problème.
Comment démarrer Linux installé sur une station SPARC ?
E. Bonet Orozco :
Aller dans la configuration matérielle de la machine (Stop-a n
). Faire " printenv ",
cela affiche un certain nombre de variables qui permettent de régler le
boot (boot-file, boot-device, auto-boot). Il n'y a plus qu'à les régler
avec " setenv ". Revenir dans l'OS avec " go ".
Charger la keytable
appropriée (grâce à loadkeys
fr-latin1
, par exemple). Les tables se trouvent dans
/usr/lib/kbd/keytables
.
Placer un stty pass8
dans le fichier ~/.bash_profile
.
Le fichier ~/.inputrc
doit contenir :
set meta-flag on
set convert-meta off
set output-meta on
Linux ne prend pas en charge (commande free
) plus de 64 Mo de RAM.
Ou bien, le nombre de fichiers, d'i-noeuds ou de processus simultanément
employés excède les limites du noyau.
Plus de 64 Mo RAM : utiliser le paramètre de démarrage mem=xM
où
x
remplace le nombre de Mo de mémoire installés (lire à ce propos
la section consacrée au " Paramètres communiqués au noyau ").
J. Bertrand :
Certaines cartes mères (dont les Micronics) possèdent une option dans le BIOS qui s'appelle je crois 'Gestion de la memoire OS/2 / non OS/2'. En activant la gestion de la memoire OS/2 (si on a plus de 64 Mo), les transferts d'information ne se font plus en 16 bits, et Linux reconnaît toute la mémoire.
R. Card :
Dans sa version 2.0, le noyau Linux ne gère plus les descripteurs d'i-noeuds en mémoire et de fichiers ouverts sous forme de tables statiques, mais utilise des listes dont la taille peut varier de manière dynamique.
La taille maximale de ces deux " tables " est définie par deux variables du
noyau dont la valeur peut être modifiée grâce à l'appel système
sysctl(2)
. Il est également possible d'accéder à la valeur de ces
variables via les fichiers virtuels /proc/sys/kernel/file-max
et
/proc/sys/kernel/inode-max
(fichiers accessibles en
lecture comme en écriture).
Afin de modifier le nombre maximal de descripteurs d'i-noeuds en mémoire et
de fichiers ouverts, il suffit donc de modifier le contenu de ces fichiers
virtuels. Par exemple, sur ftp.lip6.fr
, le fichier de commandes
rc.local
contient :
echo 16384 > /proc/sys/kernel/inode-max
echo 8192 > /proc/sys/kernel/file-max
Le nombre maximal de processus est défini par la constante
NR_TASKS
, déclarée dans le fichier d'en-tête
<linux/task.h>
. Sa valeur par défaut est 512, ce qui est
assez raisonnable. Toutefois, si l'on souhaite modifier cette limite, il est
nécessaire de recompiler le noyau car les processus sont gérés sous forme
d'une table de taille statique.
Explorer le site Caldera
((je patauge et dresse donc une liste exhaustive, infos bienvenues !)) :
Sous Red Hat invoquer " sndconfig ".
Cartes Maxi Sound :
maxinit.exe
sous MS-DOS puis charger Linux grâce à
LOADLIN
AudioExcel
(après
application du patch de noyau AudioExcelDSP16-2.0.21.diff.gz
),
désactiver le test de l'IRQ dans le driver et lancer le petit programme
AudioExcelDSP
qui initialise l'IRQ, DMA, etc. ;Windows Sound System
. Patch pour MS 32
Maxisound32FX
Le système se plante lorsque ma carte SB16 joue un son.
Cela est du à un bug des canaux DMA 16 bits de certaines vieilles cartes mères pour i386 et i486. Quand un canal 16 bits est actif, le DMA ne recharge plus la mémoire qui s'efface.
Pour résoudre le problème, il faut tout d'abord recompiler le noyau en choisissant pour le canal DMA 16 bits, le même que celui utilisé pour le canal 8 bits lors de la configuration de la carte son. Même si cela n'améliore pas le son cela évite qu'un programme plante le système en l'activant. Ce réglage implique la production d'un son de mauvaise qualité par la carte. Mais les fonctionnalités MIDI sont disponibles.
Pour les plus courageux, vous pouvez tenter de modifier les sources du pilote sonore de Linux. Le fichier à modifier est "/usr/src/linux/drivers/sound/sb_common.c". N'oubliez pas de sauver la version originale de ce fichier avant de le modifier. Vous devrez le restaurer avant d'appliquer les patches ultérieurs. Vous devez rentrer les lignes suivantes à la ligne 241 (version du noyau 2.0.33, pour les autres versions, il faut rajouter ces lignes à la fin de la fonction "dsp_get_vers") :
if (devc->major == 4) {
devc->major = 2;
devc->minor = 1;
}
Ces lignes ont pour effet de faire croire au noyau qu'il est en présence d'une SB2. Cela permet d'utiliser la carte en mono 8 bits. Il n'est malheureusement pas possible d'émuler une SB Pro car cette carte possède des fonctions qui n'ont pas été reprises dans les versions ultérieures.
Les prochaines versions du noyau devraient permettre d'utiliser pleinement les fonctions de la SB 16.
Utiliser le cavalier ("jumper") ou le logiciel de configuration permettant d'invalider la gestion du " PNP ".
On peut aussi essayer d'employer les utilitaires PNP appelés
isapnptools
.
Les noyaux 2.2 géreront peut-être mieux le PNP.
A. Cabiran :
Si on utilise la carte livrée avec le lecteur, (pc1600) :
aha152x
;
append="aha152x=0x140,11,7,1"
au début de /etc/lilo.conf
;lilo
et redémarrer. La partition créée par défaut
est /dev/sda4
;
Ma souris Microsoft à 2 boutons fonctionne mal
F. Chastrette écrit (19980424) :
Avez-vous vérifié tout ce qui est évident : utilisez-vous le bon
device
, le câble est-il branché, la souris fonctionne-t-elle sous
un autre système, etc.
Si vous avez une souris série à 2 boutons et si la panne n'est pas franche (il existe des façons de faire reconnaître la souris et à partir de ce moment elle fonctionne très bien jusqu'au redémarrage) lisez son étiquette car la version "Microsoft serial mouse 2.1A" présente ce problème.
Solution :
mice.c
)gpm -t pnp -R
Cela peut vous obliger à modifier l'un des scripts d'init
(/etc/rc.d/init.d/gpm
pour Red Hat) XF86Config
, déclarez la souris comme suit :
Section "Pointer"
Protocol "MouseSystems"
Device "/dev/gpmdata"
EndSection
G. Berger-Sabbatel note :
Tout ceci s'applique à la souris Intellimouse série, à un détail près : le type "pnp" donné à gpm ne permet pas l'utilisation de la molette comme 3ème bouton. Il faut donc en ce cas :
XF86Config
:
Pourquoi Linux n'utilise-t-il pas tous les processeurs de ma machine ?
Pour cela, il faut disposer d'une machine compatible et compiler un noyau
ad hoc en laissant l'entrée SMP=1
dans le
Makefile
du noyau.
Comment repartitionner sans détruire de partition ?
Le logiciel MS-DOS FIPS
permet cela, mais uniquement avec les
FAT
16 bits. Une
version beta
traite les
FAT32.
Comment exploiter les disques non écrits sous Linux ?
Les matériels exclusivement conçus pour fonctionner sous MS-Windows ne sont généralement pas exploitables sous Linux.
Les logiciels xcdroast
et cdrecord
permettent de piloter
des graveurs de CD.
Mon périphérique ZIP connecté au port parallèle est très lent ou bien Linux ne prend pas en charge mon ZIP+.
D. Gauchard et Katz:
Installer le plus récent
pilote
.
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